Un peu de retard à l’allumage ! La faute au beau temps, à la chaleur et à l’arrivée de l’été un peu partout … Du travail, aussi. Mais on ne parlera pas de choses qui fâchent !
Si les mois précédents nous avaient donné à lire beaucoup de belles sorties en poche, l’été sera un tout petit peu plus calme. Plutôt une bonne nouvelle pour l’état lamentable de nos chères Piles A Lire qui n’en peuvent plus d’être alourdies par toutes les tentations venant des lectures de blogs.
Si les mois précédents nous avaient donné à lire beaucoup de belles sorties en poche, l’été sera un tout petit peu plus calme. Plutôt une bonne nouvelle pour l’état lamentable de nos chères Piles A Lire qui n’en peuvent plus d’être alourdies par toutes les tentations venant des lectures de blogs.
- 10/18
Au pays du fou rire - P.G. Wodehouse
Le secret de Torrenova – Simonetta Agnello Hornby
Sur fond de Sicile écrasée de soleil, grandeur et décadence d’une famille de la bourgeoisie minée par les conflits... Au cœur de l’Italie du Sud d’aujourd’hui, tiraillée entre archaïsme et modernité, le propriétaire de la fabrique locale de pâtes artisanales qui a fait sa fortune sent son empire commencer à se déliter. À l’heure de franchir le cap de la soixantaine, Tito dresse un sombre tableau de son existence : père autoritaire dont les enfants contestent la toute-puissance, c est également un mari volage et un piètre chef d’entreprise, incapable de s adapter aux exigences du monde moderne. Mais l'intransigeant pater familias cache aussi un douloureux secret... Il est un enfant illégitime n’ayant jamais connu sa mère. Sa tante Rachele, octogénaire vivant en recluse dans une chambre du domaine, ne pourrait-elle pas l’aider à se réconcilier avec son passé, avec les siens et avec lui-même ? Le Secret de Torrenova marie avec bonheur tous les ingrédients d un grand succès populaire. Avec cette saga familiale au style fluide et à l’impeccable scénario, sur fond de nature sicilienne omniprésente et exubérante, Simonetta Agnello Hornby réussit le pari osé et risqué d aborder non seulement le thème de la recherche des origines, mais aussi avec une pudeur, une sensibilité et une subtilité tout à fait remarquables le tabou de l’inceste.
Hôtel des adieux – Brad Kessler
Une nuit, au large de la Nouvelle-Écosse, un avion rempli de passagers chute brusquement et sombre dans l’océan. Kevin et Douglas, retirés depuis dix ans sur Trachis Island, où ils tiennent un hôtel, sont témoins du drame. Alors que l’on recherche les corps dans l’espoir de retrouver des survivants, les proches des victimes sont hébergés chez eux. Venant tous d horizons très différents, ils vont peu à peu former une communauté singulière, née de leur solidarité face au deuil. Deux Taïwanais, ayant perdu leur fille, font des offrandes à son fantôme. Un musicien bulgare joue du piano, en souvenir de sa femme violoncelliste. Deux adolescents hollandais affrontent la rage au cœur la disparition de leurs parents. Un exilé iranien récite des poèmes persans pour pleurer sa petite-nièce. Mais le cœur du livre, c'est Ana, spécialiste de la migration des oiseaux, dont le mari, lui-même ornithologue, est une des victimes du crash. Renouant avec la mythologie (Icare est là, en filigrane, mais aussi Ceyx et Alcyone, couple transformé par les dieux en oiseaux), Brad Kessler nous entraîne avec une empathie profonde et contagieuse dans l'histoire d'Ana, son bonheur passé, l'infini chagrin de la perte, puis, petit à petit, le retour à la vie, malgré la tragédie.
Le secret de Torrenova – Simonetta Agnello Hornby
Sur fond de Sicile écrasée de soleil, grandeur et décadence d’une famille de la bourgeoisie minée par les conflits... Au cœur de l’Italie du Sud d’aujourd’hui, tiraillée entre archaïsme et modernité, le propriétaire de la fabrique locale de pâtes artisanales qui a fait sa fortune sent son empire commencer à se déliter. À l’heure de franchir le cap de la soixantaine, Tito dresse un sombre tableau de son existence : père autoritaire dont les enfants contestent la toute-puissance, c est également un mari volage et un piètre chef d’entreprise, incapable de s adapter aux exigences du monde moderne. Mais l'intransigeant pater familias cache aussi un douloureux secret... Il est un enfant illégitime n’ayant jamais connu sa mère. Sa tante Rachele, octogénaire vivant en recluse dans une chambre du domaine, ne pourrait-elle pas l’aider à se réconcilier avec son passé, avec les siens et avec lui-même ? Le Secret de Torrenova marie avec bonheur tous les ingrédients d un grand succès populaire. Avec cette saga familiale au style fluide et à l’impeccable scénario, sur fond de nature sicilienne omniprésente et exubérante, Simonetta Agnello Hornby réussit le pari osé et risqué d aborder non seulement le thème de la recherche des origines, mais aussi avec une pudeur, une sensibilité et une subtilité tout à fait remarquables le tabou de l’inceste.
Hôtel des adieux – Brad Kessler
Une nuit, au large de la Nouvelle-Écosse, un avion rempli de passagers chute brusquement et sombre dans l’océan. Kevin et Douglas, retirés depuis dix ans sur Trachis Island, où ils tiennent un hôtel, sont témoins du drame. Alors que l’on recherche les corps dans l’espoir de retrouver des survivants, les proches des victimes sont hébergés chez eux. Venant tous d horizons très différents, ils vont peu à peu former une communauté singulière, née de leur solidarité face au deuil. Deux Taïwanais, ayant perdu leur fille, font des offrandes à son fantôme. Un musicien bulgare joue du piano, en souvenir de sa femme violoncelliste. Deux adolescents hollandais affrontent la rage au cœur la disparition de leurs parents. Un exilé iranien récite des poèmes persans pour pleurer sa petite-nièce. Mais le cœur du livre, c'est Ana, spécialiste de la migration des oiseaux, dont le mari, lui-même ornithologue, est une des victimes du crash. Renouant avec la mythologie (Icare est là, en filigrane, mais aussi Ceyx et Alcyone, couple transformé par les dieux en oiseaux), Brad Kessler nous entraîne avec une empathie profonde et contagieuse dans l'histoire d'Ana, son bonheur passé, l'infini chagrin de la perte, puis, petit à petit, le retour à la vie, malgré la tragédie.
- Livre de Poche
Cette brume de la mer me caressait comme un bonheur – Guy de Maupassant
Parmi les 250 chroniques que Maupassant écrivit dans diverses revues entre 1876 et 1887, un grand nombre furent consacrées à ses voyages, et notamment à ses pérégrinations autour de la "Grande Bleue". Cet ouvrage réunit 45 de ces récits de voyages "au pays des yachts", en Corse, en Italie et en Afrique du Nord.
Huis clos en Toscane – Diana Lama
Vingt ans après, six anciennes camarades de classe se retrouvent dans la somptueuse villa où elles avaient séjourné ensemble l'année de leur bac. Seule Piera, l'organisatrice de ce week-end " entre filles ", manque à l'appel. Lucia, Amanda, Déda, Maria Luisa, Tatti et Giovanna imaginent alors toutes sortes de motifs à son absence. Très vite, trois autres disparaissent. Leurs amies se rassurent en pensant qu'elles ont filé à l'anglaise. Mais la tension ne cesse de monter, d'autant que le week-end prend fin et que le minibus censé venir chercher les hôtes de la Villa Camerelle se fait attendre. C'est alors qu'Amanda, la plus angoissée de la bande, fait une macabre découverte. Y aurait-il une meurtrière parmi elles ?
L’incroyable histoire de Mademoiselle Paradis – Michèle Halberstadt
Maria-Theresia von Paradis naît à Vienne en 1759, sous d'heureux auspices. Fille unique du conseiller de l'impératrice, admirée pour sa beauté et son talent précoce pour le piano, elle est atteinte encore enfant par une cécité brutale. A dix-sept ans, son père qui lui a déjà fait subir des traitements inopérants et douloureux la confie au célèbre magnétiseur Mesmer (qui a découvert avant Freud le pouvoir du psychisme et de la suggestion pour guérir)... Entre eux, le courant passe aussitôt... jusqu'à lui faire recouvrer la vue et l'envie de la reperdre, car Maria-Theresia comprend vite ce dont la cécité la protégeait : le pouvoir, le calcul, le ressentiment, l'avidité, tout ce qui empêche les hommes d'être sereins.
Maruzza Musumeci – Andrea Camilleri
Pauvre émigré sicilien, Gnazio Manisco a réussi en Amérique. Mais quand il refuse un service à la mafia, il sait que ses jours sont comptés et décide de rentrer au pays. De retour à Vigàta, il acquiert une terre en bordure de mer, dont on murmure que le propriétaire précédent est mort d'avoir surpris une étrange créature pleurant sous l'olivier millénaire. Grâce à l'entremetteuse du village, Gnazio pourrait épouser Maruzza Musumeci, une femme d'une grande beauté qu'un trouble peu banal retient jusque-là de se marier : elle se prend pour une sirène. Gnazio est-il l'homme qui saura la convaincre du contraire ? Entre récit romanesque et conte fantastique, Maruzza Musumeci narre avec sensualité et truculence la destinée d'une famille sicilienne, de 1895 à 1943.
Parmi les 250 chroniques que Maupassant écrivit dans diverses revues entre 1876 et 1887, un grand nombre furent consacrées à ses voyages, et notamment à ses pérégrinations autour de la "Grande Bleue". Cet ouvrage réunit 45 de ces récits de voyages "au pays des yachts", en Corse, en Italie et en Afrique du Nord.
Huis clos en Toscane – Diana Lama
Vingt ans après, six anciennes camarades de classe se retrouvent dans la somptueuse villa où elles avaient séjourné ensemble l'année de leur bac. Seule Piera, l'organisatrice de ce week-end " entre filles ", manque à l'appel. Lucia, Amanda, Déda, Maria Luisa, Tatti et Giovanna imaginent alors toutes sortes de motifs à son absence. Très vite, trois autres disparaissent. Leurs amies se rassurent en pensant qu'elles ont filé à l'anglaise. Mais la tension ne cesse de monter, d'autant que le week-end prend fin et que le minibus censé venir chercher les hôtes de la Villa Camerelle se fait attendre. C'est alors qu'Amanda, la plus angoissée de la bande, fait une macabre découverte. Y aurait-il une meurtrière parmi elles ?
L’incroyable histoire de Mademoiselle Paradis – Michèle Halberstadt
Maria-Theresia von Paradis naît à Vienne en 1759, sous d'heureux auspices. Fille unique du conseiller de l'impératrice, admirée pour sa beauté et son talent précoce pour le piano, elle est atteinte encore enfant par une cécité brutale. A dix-sept ans, son père qui lui a déjà fait subir des traitements inopérants et douloureux la confie au célèbre magnétiseur Mesmer (qui a découvert avant Freud le pouvoir du psychisme et de la suggestion pour guérir)... Entre eux, le courant passe aussitôt... jusqu'à lui faire recouvrer la vue et l'envie de la reperdre, car Maria-Theresia comprend vite ce dont la cécité la protégeait : le pouvoir, le calcul, le ressentiment, l'avidité, tout ce qui empêche les hommes d'être sereins.
Maruzza Musumeci – Andrea Camilleri
Pauvre émigré sicilien, Gnazio Manisco a réussi en Amérique. Mais quand il refuse un service à la mafia, il sait que ses jours sont comptés et décide de rentrer au pays. De retour à Vigàta, il acquiert une terre en bordure de mer, dont on murmure que le propriétaire précédent est mort d'avoir surpris une étrange créature pleurant sous l'olivier millénaire. Grâce à l'entremetteuse du village, Gnazio pourrait épouser Maruzza Musumeci, une femme d'une grande beauté qu'un trouble peu banal retient jusque-là de se marier : elle se prend pour une sirène. Gnazio est-il l'homme qui saura la convaincre du contraire ? Entre récit romanesque et conte fantastique, Maruzza Musumeci narre avec sensualité et truculence la destinée d'une famille sicilienne, de 1895 à 1943.
- Folio
Le requiem de Franz – Pierre Charras
«Et j'ai découvert Thérèse, en même temps que je découvrais ma Messe en fa. Pendant les répétitions, j'avais écouté la messe et Thérèse et, là, je les entendais.
Alors, en pleine béatitude, j'ai senti l'amour s'abattre sur moi, comme d'autres sont foudroyés par la beauté, la foi. À moins que ce ne soit de ma propre musique que je sois tombé amoureux. Ou de l'amour lui-même. Ou de Dieu.» Bien que mort prématurément à trente et un ans, Franz Schubert aura eu le temps de composer plus de mille œuvres, dont quelque six cents lieder. Par-delà les siècles, comme le génial témoin revenu d'un voyage dans le temps, Pierre Charras fait entendre au présent la voix du compositeur, au plus près du processus créatif, et dessine les contours d'une âme tourmentée.
La lumière et l’oubli – Serge Mestre
1953, quelque part en Catalogne, deux adolescentes trompent la vigilance des gardes civils, sautent du train et s'enfuient à travers la campagne. Filles de Républicains espagnols, Esther et Julia échappent ainsi à leur sort dans une Espagne soumise au joug franquiste. Mais c'est trente-cinq ans plus tard, en France, qu'elles retrouvent la pleine mémoire de leur aventure. Par vagues successives, le souvenir brûlant les submerge et l'Espagne qu'elles ont fuie ressuscite en une fresque irréelle et terrible où se croisent de multiples destins : enfants martyrisés dans les couvents, lourds secrets des familles adoptives, médecins convaincus de pouvoir extirper "le gène du marxisme", résistants passeurs qui risquent leur vie à la frontière... Bien au-delà d'un classique roman historique, La Lumière et l'Oubli est une épopée du souvenir, où remontent d'étranges coïncidences familiales, révélant à chaque personnage la face cachée de ses origines.
La patience de Mauricette – Lucien Suel
« J'ai écrit beaucoup de pages, mais je n'arrive pas à suivre. Je sais trop de choses. Je ferme comme un robinet devant mes yeux. Trop de choses effroyables. J'ai fait du mal. Je dois raccorder mes nerfs. La Lys me suit après Haverskerque Armentières à travers Comines pour aller dans la mer. L'eau revient dans les nuages. Mon petit Émile tombe dans la pluie. Ici c'est ma peine. Je l'accomplis ». Mauricette Beaussart, soixante-quinze ans, a disparu de l'hôpital où l'on soigne sa santé mentale. Son ami Christophe Moreel entreprend de la retrouver. Au fil de sa quête, le passé et le présent de Mauricette s'entrecroisent, tissant peu à peu le portrait d'une femme riche de ses grandes souffrances et de ses petits bonheurs.
«Et j'ai découvert Thérèse, en même temps que je découvrais ma Messe en fa. Pendant les répétitions, j'avais écouté la messe et Thérèse et, là, je les entendais.
Alors, en pleine béatitude, j'ai senti l'amour s'abattre sur moi, comme d'autres sont foudroyés par la beauté, la foi. À moins que ce ne soit de ma propre musique que je sois tombé amoureux. Ou de l'amour lui-même. Ou de Dieu.» Bien que mort prématurément à trente et un ans, Franz Schubert aura eu le temps de composer plus de mille œuvres, dont quelque six cents lieder. Par-delà les siècles, comme le génial témoin revenu d'un voyage dans le temps, Pierre Charras fait entendre au présent la voix du compositeur, au plus près du processus créatif, et dessine les contours d'une âme tourmentée.
La lumière et l’oubli – Serge Mestre
1953, quelque part en Catalogne, deux adolescentes trompent la vigilance des gardes civils, sautent du train et s'enfuient à travers la campagne. Filles de Républicains espagnols, Esther et Julia échappent ainsi à leur sort dans une Espagne soumise au joug franquiste. Mais c'est trente-cinq ans plus tard, en France, qu'elles retrouvent la pleine mémoire de leur aventure. Par vagues successives, le souvenir brûlant les submerge et l'Espagne qu'elles ont fuie ressuscite en une fresque irréelle et terrible où se croisent de multiples destins : enfants martyrisés dans les couvents, lourds secrets des familles adoptives, médecins convaincus de pouvoir extirper "le gène du marxisme", résistants passeurs qui risquent leur vie à la frontière... Bien au-delà d'un classique roman historique, La Lumière et l'Oubli est une épopée du souvenir, où remontent d'étranges coïncidences familiales, révélant à chaque personnage la face cachée de ses origines.
La patience de Mauricette – Lucien Suel
« J'ai écrit beaucoup de pages, mais je n'arrive pas à suivre. Je sais trop de choses. Je ferme comme un robinet devant mes yeux. Trop de choses effroyables. J'ai fait du mal. Je dois raccorder mes nerfs. La Lys me suit après Haverskerque Armentières à travers Comines pour aller dans la mer. L'eau revient dans les nuages. Mon petit Émile tombe dans la pluie. Ici c'est ma peine. Je l'accomplis ». Mauricette Beaussart, soixante-quinze ans, a disparu de l'hôpital où l'on soigne sa santé mentale. Son ami Christophe Moreel entreprend de la retrouver. Au fil de sa quête, le passé et le présent de Mauricette s'entrecroisent, tissant peu à peu le portrait d'une femme riche de ses grandes souffrances et de ses petits bonheurs.
11 commentaires:
Je prends bonne note de " l'histoire de mademoiselle Paradis ", une découverte.
Le dernier "la patience de Mauricette" me semble indispensable, je vais sauter dessus... Bel été Nanne, bises
de quoi rajouter quelques lectures à la lal ;-)
Il y a quand même de quoi alimenter nos PAL cet été. Merci Nanne :-)
Bonsoir Nanne, parmi les titres mentionnés, je n'ai lu que La patience de Mauricette: pas mal du tout. Il faudrait que je lise son précédent : Mort d'un jardinier. Comme le précédent roman de Ron Rash (Serena) s'intitule Un pied au paradis. Il paraît que c'est très bien aussi. Bonne soirée.
@ Emmyne : J'ai lu des critiques mitigées sur ce 2ème roman de Michèle Halberstadt, mais j'ai très envie de le lire quand même ... Son premier roman m'avait envoûté ("Café viennois" en poche aussi). Si tu as l'occasion de le lire, il est magnifique !
@ L'or des chambres : Ce roman de Lucien Suel me paraît être un livre très fort et très poétique ... Je pense que je me laisserai tenter par cette belle lecture ! Bel été à toi aussi ;-D Les vacances ne sont pas loin ...
@ Lilibook : C'est vrai qu'il y a toujours matière à alimenter PAL et LAL, même si les sorties de juillet sont un peu ralenties ... Quelques belles rencontres littéraires en perspective !
@ Manu : Si tu savais que même en période basse, comme celle du mois de juillet, j'arrive quand même à faire augmenter ma PAL ... Ce qui me rassure, c'est que je ne suis pas la seule à ce que je lis ;-D
@ Dasola : Tu me confirmes dans mon envie de lire "La patience de Mauricette" qui me paraît être un livre sensible ... Et merci pour le titre de Ron Rash, "Un pied au paradis" dont j'ai lu encore plus de bien que pour "Serena" ! Encore deux ouvrages à ne pas oublier dans sa LAL ;-D
Oh merci, je me souviens avoir noté à sa parution Café viennois puis je l'ai oublié. Je me souviens maintenant, oui, je pense que ce sera une belle lecture. Alors, je commence par celui-ci.
( je confirme " Un pied au paradis " est superbe -)
@ Emmyne : Commence par "Café viennois", si tu le peux, car ce livre est vraiment très bon ... un livre sur Vienne et l'Histoire ! Un livre sur les relations entre mères et filles, tout en pudeur et en sensibilité. Une belle lecture, pour ce qui me concerne.
Love thiss
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